Wall paintings, imagined already in 1979 and produced as of 1989, extend Tania Mouraud’s examination of writing on an architectural scale. Letters and spaces, calculated using the golden number, are stretched to the limit of legibility. The artist rapidly turned to using poetic or literary phrases with multiple undertones.

Les peintures murales, imaginées dès 1979 et réalisées à partir de 1989, prolongent les recherches de Tania Mouraud sur l’écriture, à l’échelle de l’architecture. Les lettres et les espacements, calculés
sur la base du nombre d’or, sont étirés jusqu’à la limite du lisible. Très vite, l’artiste utilise des phrases poétiques ou littéraires aux résonances multiples.